Édition 2019 du salon ART CAPITAL à Paris
Un parcours unique dans l’Art vivant d’aujourd’hui..
Du 13 au 17 février 2019, plus de 2000 artistes présentent leurs œuvres
dans la nef du Grand Palais
Vernissage le 12 février de : 15h à 22h (exclusivement sur invitation)
Kojiro AKAGI sera heureux de vous faire découvrir ses dernières créations.
Ouvert au public du Mercredi 13 au Dimanche 17 février
(réservez vos billets en ligne)
Mercredi 13, Vendredi 15, Dimanche 17 Février de : 11h à 20h
Jeudi 14, Samedi 16 Février de : 11h à 22h.
art3f Paris – Paris Expo – Pavillon 5 – stand L11 – Porte de Versailles, les 1, 2 et 3 février 2019 – SAVE THE DATE
Kojiro Akagi vous présente <BR> Gaëlle & Hélène !
Kojiro Akagi, surnommé le plus parisien des artistes Japonais, trace et retrace patiemment, depuis plus de 50 ans, les mémoires et trésors architecturaux de la capitale. Fasciné par Paris, ce monsieur humble et discret plante son chevalet partout où son œil a été attiré par un détail, une façade, une curiosité, un lieu en voie de disparition qu’il est urgent d’immortaliser.
«Gaëlle (ii) & Hélène (Xi)» – Kojiro Akagi Huile sur toile, 100 x 50 cm
Exceptionnellement, à l’occasion de art3f Paris, Kojiro Akagivous dévoilera son jardin secret, «Les nues d’Akagi» et vous invite à tomber sous le charme de deux de ses modèles : Gaëlle & Hélène
Depuis 2005 Kojiro Akagi est representé par la Galerie de Paris,crée par un couple international de parisiens Jean-Luc Masson et Anna-Filimonova. Cette galerie correspond parfaitement au concept d’activité de Kojiro Akagi car elle se consacre entièrement aux artistes pour qui la ville des Lumière est une source d’inspiration majeur. Ensemble, ils organisent les
expositions du Mâitre dans des lieux institutionnels et sur le net.
art3f bouge les lignes des traditionnels salons marchands d’art contemporain, en redonnant à ces événements culturels un côté humain et chaleureux. art3f est un savant mélange entre l’art coup de coeur, l’art abordable et la plus belle représentation artistique du moment.
Les férus d’art et les collectionneurs pourront
rencontrer les artistes en direct et partager avec eux leur amour de l’art de la jeune garde contemporaine internationale à des artistes installés et des oeuvres prestigieuses.
INFOS PRATIQUES : Dates : 1, 2, 3 février 2019
Horaires : Vendredi : 14h à 22h, Samedi : 10h à 19h
Dimanche : 10h à 19h
Adresse : Paris Expo – Pavillon 5 Porte de Versailles
1 Place de la Porte de Versailles – 75015 Paris
Des œuvres reconnaissables par leurs lignes rouges et blanches
Ces œuvres privilégient le patrimoine historique : monuments emblématiques, façades d’immeubles, quartiers anciens… Si la peinture à l’huile est très présente dans son travail, il crée également des dessins à l’aquarelle et des lithographies.
Ses créations se distinguent par une observation rigoureuse de l’architecture et de l’espace, renforcée par un procédé unique qu’Akagi a découvert et su rendre à la perfection : une peinture à l’huile aux lignes rouges ou blanches en relief épais.
Il utilise de l’encre de Chine pour définir les contours du dessin, puis le colore à l’aquarelle, toujours sur place, afin de capter les couleurs originales de son modèle.
Trademark reds and whites
Most of Kojiro Akagi’s pieces focus on historical heritage, featuring iconic monuments, the facades of buildings and older neighbourhoods. Oils feature prominently in his work, along with watercolours and lithographs.
His artwork is characterised by the utmost attention to the detail in architecture and space, emphasised by a unique technique discovered and perfected by the artist himself: oil painting with characteristic red and white outlines in thick relief. He uses Chinese ink to create the contours of the drawing, then adds watercolour in situ to capture the true colours of the original.
Le pont de Bir-Hakeim / E-77 / 79
Lithographie, Atelier Grapholith,
120 tirages + 27 E.A. romain,sur papier Arches 47,5 x 64,5 cm.
Disponible à la vente : 950 euros avec cadre, 800 euros sans cadre, renseignements, devis, infos@galeriedeparis.fr
Le pont de Bir-Hakeim
Appelé autrefois Pont de Passy, il devient, le 18 juin 1949, Pont de Bir-Hakeim afin de commémorer la victoire en juin 1942 d’une bataille acharnée qui a duré deux semaines dans le désert de Libye. Les forces françaises libres ont aidé l’armée anglaise à combattre les chars du corps d’armée de la coalition italo-germanique. C’est un événement important qui a permis aux Forces Françaises Libres du Général de Gaule de se faire reconnaître. La même année, le 16 juillet, 30 000 juifs sont rassemblés par l’armée allemande occupant Paris dans un bâtiment sur la rive droite de ce pont. Ce bâtiment n’existe plus. Ce jour-là fut celui du premier convoi vers les camps de concentration en Allemagne. A la sortie du métro, une stèle a été érigée pour commémorer cette date.
En allant vers la droite, on voit la Maison de la culture du Japon à Paris, inaugurée le 30 mai 1997. C’est un lieu familier pour les Japonais dans ce périmètre historiquement riche.
Quand je suis arrivé à Paris, d’ici jusqu’au sud, le quartier était occupé par les usines Citroën et d’autres constructeurs automobiles. Après leur déménagement en grande banlieue, les terrains vides sont devenus un ensemble immobilier résidentiel nommé Front de Seine. On l’aperçoit le long de la Seine.
Inauguré en 1906, le pont de Bir-Hakeim est un bel exemple de design industriel du début du 20e siècle. La partie haute sert de voie pour le métro de Paris. Sous le pont, une voie pour les voitures et une autre réservée aux piétons. Les lieux, souvent utilisés comme décors de films, sont inscrit aux Monuments Historiques depuis 1986.
Le pont de Bir-Hakeim
Lithograph (1992)
This used to be called the Pont de Passy in the past, but the name was changed to the Pont de Bir-Hakeim on June 18th 1949. The British Armed Forces was struggling against General Rommel’s tank army from the axis of Germany and Italy, fighting fierce battles for two weeks in the Libyan Desert in June 1942. Then the French Free Corps hurried there to assist them the victory. The name was changed to commemorate this. That was a very important event because General de Gaulle’s French Free Corps, which was barely recognised until then, was acknowledged. On July 16th of the same year, 30,000 Parisian Jews were gathered by the occupying German army into the winter cycling stadium, which was located at the right side of the bridge, to be sent out to concentration camps in Germany. The building is no longer there. A memorial stands across the exit of subway still today.
On the left side of the bridge, the Japan Cultural Institute opened on May 31st 1997. This is a place extremely familiar to Japanese people but this history hangs over the area.
When I came to Paris, south of here the walls of the Citroën car factory and the buildings which developed in around it from 1916 filled the area. All the factories moved to the suburbs in 1976 and the housing complex Front de Seine began to develop in the space vacated by them.
The two-storey bridge opened in 1906 with railway above and the roadway and pavement beneath. This is a beautiful bridge, typifying industrial design of the early 20th century. This is also often used in films and was designated a historical building in 1986.
ART CAPITAL est né en 2006 de la volonté des Salons dits « historiques du Grand Palais » et d’artistes d’horizons divers de jouer de leurs différences, d’unir leurs forces pour créer un événement fédérateur et nouveau dans le cadre de leur retour au Grand Palais.
L’objectif : faire d’Art Capital un rendez-vous indispensable à la promotion de l’Art d’aujourd’hui, une interface entre le créateur, le public et les galeries.
Ainsi, depuis 10 ans, se réunissent sous la verrière du Grand Palais :
Le Salon Comparaisons
La Société des Artistes Français
Le Salon du Dessin et de la peinture à l’eau
La Société des Artistes Indépendants
Du 14 au 18 février 2018, de nombreux artistes vous présentent à nouveau leurs œuvres (vernissage le 13 février 2018).
Le Moulin Rouge / E-20 1981, Sérigraphie, Atelier Del Arco, 100 tirages + 10 E.A. romain, sur papier Arches 49,5 x 64,5 cm.
Le Moulin Rouge / E-20 / C-29
1981, Sérigraphie, Atelier Del Arco, 100 tirages + 10 E.A. romain,
sur papier Arches 49,5 x 64,5 cm.
Le Moulin Rouge
Avant la Révolution française, l’avenue qui donne sur la rue menant à la butte Montmartre était un rempart. De l’autre côté de ce mur d’enceinte, on n’appliquait pas les taxes en vigueur dans la ville de Paris.
Le quartier était très animé grâce à une multitude de troquets où l’on pouvait boire pour pas cher de l’alcool détaxé. Il rejoint l’enceinte de Paris lors de l’élargissement de la ville effectué par Napoléon III.
Si aujourd’hui le quartier est l’un des les plus animés de Paris, truffé de marchés, c’est parce qu’à l’origine, à la sortie de ces remparts, se trouvaient déjà des marchés et des bars.
Le 1er mai 1889, sur les lieux de l’ancienne Porte blanche, nait le Moulin rouge, célèbre pour ses affiches réalisées par Toulouse-Lautrec. Cet endroit a connu un immense succès. C’est lors de l’Exposition universelle qui a vu la construction de la tour Eiffel, qu’est né le premier cabaret proposant du French cancan.
Malgré quelques changements de mise en scène, le spectacle est toujours à l’affiche. Au 21e siècle, ce sont les touristes chinois qui font le succès du lieu. On dit qu’ils représentent les deux tiers de sa clientèle. Je me souviens de l’époque où la clientèle était constituée d’agriculteurs des coopératives japonaises qu’on obligeait à porter cravate pour assister au spectacle. On pouvait d’ailleurs en louer une à l’entrée. Hélas, aujourd’hui, les clients en chemise tahitienne sont acceptés. Je suis surpris de ce changement.
Along the main street just before you get to Montmartre hill are the ruins of the city wall which was built just before the French Revolution started. Outside the city wall was quiet countryside and people enjoyed cheap alcohol at tax-free bars so it was popular and crowded. In 1860, under Napoleon III, the area of Paris was expanded so more land was absorbed into the city. Today, market stalls in bustling places are seen in different parts of Paris. Many of these markets started outside the wall, before the area became part of the city, as popular markets and bars.A place where Blanche Wall’s gate once stood was a cabaret called ‘Moulin Rouge’ which enjoyed huge success. It was made world famous in the posters of Toulouse Lautrec. It started business on 1st May 1889, contemporary with the Paris Expo for which the Eiffel Tower was also erected. At Moulin Rouge very interesting and creative shows were put on and the cancan dance was first performed here. In the 21st century it became very popular with Chinese tourists: about 60% of visitors today are said to be Chinese. I remember when this place was very popular with the Japanese Agricultural Association’s travelling groups, not long ago. At the entrance, ties could be borrowed by those who had no tie since wearing them was compulsory. I am surprised to see customers wearing Hawaiian shirts being welcomed nowadays.
Kojiro Akagi, le « plus parisien des artistes japonais », exposera ses œuvres lors de la quatrième édition d’art3f Paris, les 26, 27 et 28 janvier 2018.
Les peintures d’Akagi offrent au spectateur de multiples facettes inédites de Paris grâce à son regard singulier et à sa technique originale. Les visiteurs y découvriront un extrait de ses cent lithographies dédiées à Paris.
Art3F Paris – 4eme édition
Adresse : Parc Expo – Pavillon 4 – Porte de Versailles1 Place de la Porte de Versailles – 75015 Paris
Dates et horaires : 26, 27, 28 janvier 2018
Vendredi : 14h à 22h – Samedi : 11h à 19h – Dimanche : 11h à 19h
Prix adulte : 10 euros – Gratuit pour les mineurs accompagnés
Une vision inédite des monuments et quartiers parisiens
La Galerie de Paris a pour ambition d’accueillir des artistes contemporains ayant pour source d’inspiration la ville de Paris. Parmi ces artistes, issus de nombreux pays, Kojiro Akagi, peintre japonais qui révèle, à travers ses œuvres, une réelle fascination pour notre ville et offre une vision inédite de ses monuments et quartiers.
A proposde Kojiro Akagi
Né en 1934 à Okayama-shi au Japon, Kojiro Akagi arrive à Paris en 1963 et entre à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts. Il commence à travailler d’après nature, posant son chevalet au grès de ses ballades parisiennes. Très vite, il étonne les passants par le choix de ses sujets, la minutie de son travail et sa technique singulière.
Des œuvres reconnaissables par leurs lignes rouges et blanches
Ces œuvres privilégient le patrimoine historique : monuments emblématiques, façades d’immeubles, quartiers anciens… Si la peinture à l’huile est très présente dans son travail, il crée également des dessins à l’aquarelle et des lithographies. Ses créations se distinguent par une observation rigoureuse de l’architecture et de l’espace, renforcée par un procédé unique qu’Akagi a découvert et su rendre à la perfection : une peinture à l’huile aux lignes rouges ou blanches en relief épais. Il utilise de l’encre de Chine pour définir les contours du dessin, puis le colore à l’aquarelle, toujours sur place, afin de capter les couleurs originales de son modèle.
Ainsi, en arpentant avec obstination chaque quartier de la capitale et en représentant avec une grande précision la ville sous ses multiples facettes, Kojiro Akagi mérite d’être reconnu comme le plus parisien des artistes japonais. Et en se penchant sur la mémoire de chacun de ses lieux et site, il est devenu également un fin connaisseur de histoire de «sa» ville : Paris.
Kojiro Akagi a reçu de nombreuses distinctions :
1971 : Médaille d’or (aquarelle) au Salon des Artistes Français
1974 : Médaille d’or (peinture) et Hors-Concours au Salon des Artistes Français
1975 : Prix du Président de la République au Salon International d’Art (Musée de Toulon)
1994 : Médaille du Ruban bleu Foncé, Gouvernement Japonais (seconde médaille en 1998)
2000 : Prix galet d’or de l’estampe au festival international du château musée Grimaldi Cagnes-sur-Mer, France.
2002 : Prix Puvis de Chavanne au Salon National des Beaux-Arts, Paris
2005 : Décoration de l’Ordre du Soleil Levant, Rayons d’or avec rosette, Japon. (Equivalent de l’Officier de la Légion d’Honneur en France)
2014 : Remise des insignes de Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres par Monsieur Arnaud d’Hauterives, secrétaire perpétuel de l’Académie des beaux-arts.
2014 : Prix VERDAGUER de la peinture 2014 de l’Institut de France par l’Académie des beaux-arts.
Présence internationale
Kojiro Akagi est exposé dans de grands musées tels que le Musée Carnavalet à Paris où sont présentées 130 œuvres, le Musée Municipal de Toulon, le Musée du Vatican en Italie, le Pat Clark Museum aux Etats-Unis ainsi que de nombreux musées japonais, tel que le Musée Royal Uéno à Tokyo.Ces œuvres sont également présentes dans de nombreuses collections publiques de France, du Japon, de Côte d’Ivoire…Enfin, en le nommant en 2002, Vice-Président d’Honneur, la Société Nationale des Beaux-Arts de France a voulu distinguer son talent et sa singularité dans le monde de l’art.
1996, Lithographie, Possolitho, IDL Graphiques,
100 tirages + 25 E.A. romain, sur papier BFK Rives 48,0 x 64,5 cm.
リトグラフ(1996)E-91
Rue Auber
À droite de la place de l’Opéra se trouve la maison Lancel. Créée en 1876, l’enseigne commercialisait des pipes. A partir de 1901, elle propose à la vente des sacs à main en cuir. C’est en 1927 qu’elle ouvre cette grande boutique qui a, depuis, connu trois propriétaires. Elle appartient aujourd’hui à un groupe suisse.
J’ai dessiné ce paysage depuis le 2e étage d’un des bureaux de la société Kakiuchi, entreprise japonaise de textile. Il y a quelques années, Kakiuchi, dont l’activité a débuté bien avant la Seconde Guerre mondiale, était une société spécialisée dans l’importation de produits étrangers. À Tokyo, le parc Asukayama-koen a vu le jour grâce à un don de cette entreprise familiale. C’est de ce lieu que l’on peut admirer une magnifique vue sur le mont Tsukuba. Cette vue a été dessiné par Hiroshige et fait partie de sa série “Cent vues d’Edo”.
Après guerre, le Japon est en pleine reconstruction. Sans aucune réserve monétaire, le pays cherche à exporter ses produits afin de se procurer des devises en dollars. Chaque année, on évalue les dépenses des entreprises japonaises de commerce international en fonction du chiffre d’affaires de l’année précédente. Plus elles exportent leurs produits en dollars, plus elles peuvent réinvestir ces devises l’année suivante. Kakiuchi disait qu’une entreprise comme la sienne faisait très facilement des bénéfices en vendant une partie de ses droits. Cette société n’existe plus depuis 2002.